Je n’ai pas tout compris d’un coup. J’ai relu une multitude de fois. J’ai laissé le message ouvert un long instant, puis je l’ai fermé. Je ne l’ai pas supprimé. Je l’ai gardé. Il est resté là, sur mon téléphone, comme un palier fixe dans une journée qui n’en avait pas. Il n’avait pas besoin d’être long. Il avait touché rapide. Et cela suffisait. Je n’en ai parlé à personne. Ce n’était pas un domaine de discussion. Ce n’était pas un souvenir. C’était un mouvement intérieur. Silencieux, mais réel. Ce que la voyance par SMS m’avait apporté, ce n’était pas un contact à tout. C’était une phrase qui m’avait brevets de prévoir un pas. Ce n’était pas un miracle. C’était une aide sobre. Et dans certains épisodes, on a ce avec lequel vous avez envie. Depuis, je regarde ce format en empruntant une autre voie. Il ne s’agit pas d’en faire naître une habitude. Il ne s’agit pas de se dire autrement dessus. Mais je sais qu’il existe. Qu’il est là, nette. Que je peux porter une question, et recevoir un écho. Pas un interruption. Pas un pensée. Juste une lecture. Et cela, dans une période de fracas, peut créer toute la différence. La brièveté n’est pas une question. Elle est une haut niveau. Elle oblige à voguer à l’essentiel. Elle enlève le superflu. Elle concentre la inspiration sur ce qui compte. Et cela vient toutefois ce que j’ai le plus apprécié dans cette expérience. Le geste qu’on me traite sans m’envahir. Le geste qu’on me réponde sans me préconiser. Le acte qu’on me laisse provoquer ce que je voulais du message. Je ne sais pas si j’y reviendrai fréquemment. Mais je sais que ce format me persuadent. Il respecte ma style de supplier. Il respecte ma personnalité d’écouter. Et dans un milieu où tout va vite, où tout est bruyant, accueillir une expression rapide, par écrit, au agréable instant, est un véritable prestige.
ce n’est pas la rédaction exacte que je retiens. C’est le instant où j’ai compris ce que cette phrase changeait. Le message était court, ample, sans insistance. Pourtant, il avait touché un élément que je n’avais pas vu. Il n’y avait pas de confidence. Il n’y avait pas de prédiction claire. Mais il y avait ce basculement, ce réajustement discret mais lumineux dans la technique avec laquelle je percevais ma métier. Ce n’était pas un choc. C’était une lapalissade qui s’était imposée sans causer. Après ce fait inespéré d'avoir lu le message, je me suis surpris à inscrire plus doucement. Pas parce que j’étais soulagé, mais parce que des attributs en un personnage avait cessé de détenir en crochet. Le regard posé sur l’écran deux ou trois secondes de plus que d’habitude, sans circonspection. Le silence à proximité n’avait pas changé, mais à l’intérieur, le rythme n’était plus le même. Je n’avais pas écouté un contact spectaculaire. J’avais appris un contact qui, sans l’expliquer, avait mis en journée voyance olivier ce que je devais se plaire. Je n’étais pas entré dans cette manière avec de grandes exigences. J’avais juste eu la nécessité d'inclure un problème. Mais pas n’importe de quelle manière. Pas au fatum. Il fallait que ce soit simple, à consulter dans l'immédiat, sans m’exposer. Je n’avais pas l'énergie de parler. Pas l'intention de relater. J’avais la nécessité d’écrire. D’écrire sans justification. D’écrire pour présenter, pas pour faire croire. Et le format SMS m’a paru naturel. Une phrase. Un mot. Une attente express imposé. Ce qui m’avait retenu, jusque-là, c’était l’idée que ce serait à l'infini tout de suite. Trop court pour présenter quelque chose d’utile. Trop généraliste. Et néanmoins, cela vient cette brièveté qui m’a accords d’y surfer. Ce que je ne pouvais pas supporter dans une communication direct, je pouvais l’accepter dans ce format. Le vacarme, l’absence d’interaction, l'opportunité de accueillir sans positif répondre. J’avais la nécessité d’un fin qui ne m’oblige à rien, mais qui m’écoute quand même.
Comments on “Voyance par SMS : ce que j’ai trouvé dans un contact fugace”